Le vallon de la Leisse
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Le vallon de la Leisse
Après une journée proche de la catégorie "détestable", il semblait juste que le temps s'améliorât. Cela a commencé à aller mieux vers la fin de la nuit, et si le petit matin révélait des trous de ciel bleu entre les nuages, quelques gouttes tombaient encore, et il faisait bien froid. Je n'ai hélas pas eu le réflexe salutaire de prendre en photo ce qui se voyait par la fenêtre, pensant naïvement que de toute façon, ce serait au moins aussi bien un peu plus tard. Dommage, je n'ai immortalisé que des lambeaux du spectacle constitué par les glaciers de la Vanoise poudrés de frais et drapés de coton humide :
Le dôme de Chasseforêt. Au lever, il trônait au-dessus de tout le reste, mais très vite, il a joué à cache-cache et ne se montrait que lorsque le reste du massif était bien emmitouflé.
Pans de glacier et pans de falaise.
Les chalets de la Para.
Depuis le refuge d'Entre-Deux-Eaux, on a une vue imprenable sur la Grande Casse, ainsi qu'en attestent les cartes postales. Ce spectacle nous sera refusé, seul le bas de la montagne apparaissant en-dessous du plafond :
Le chemin commence par une légère descente, jusqu'au pont de Croé-Vie. C'est une route historique, qui a servi notamment, depuis le Moyen-Âge, pour le commerce du sel vers ces vallées privées d'un élément essentiel que l'on trouve uniquement dans les produits de la mer : l'iode. Le pont, passage obligé depuis des temps immémoriaux, se trouve à l'aplomb du plateau de la Réchasse :
Quant à notre sentier, il va remonter tout doucement le très long vallon de la Leisse, jusqu'au col du même nom :
Si on traverse le pont, on accède au sentier montant vers le col de la Vanoise :
On devine à gauche les lacets qui montent dans les pentes d'herbe.
L'amélioration du temps semble enfin commencer. Temporairement, le sommet dominant le fond du vallon se dégagera :
Vous le reconnaissez ?
Pour vous aider, le voici en plus gros plan.
Vous la reconnaissez ? Eh oui, vue ainsi, du sud-est, la Grande Motte n'a pas du tout son aspect typique. Et pour brouiller les pistes, elle a revêtu son manteau blanc.
La pointe de la Réchasse n'aura pas autant de chance, du moins aussi vite. Les nuages traînent dessus :
Sur sa gauche, la roche de la Queva (ou de la Queua, selon que l'on prend la carte au 1/50.000è ou au 1/25.000è. Comprend qui peut) :
La carte indique des pentes d'éboulis sous les falaises abruptes de la Grande Casse, mais il y a d'étranges coulées dans ces éboulis :
Qu'est-ce qui peut bien être blanc comme ça ?
Je dis que ce sont des boules de neige. Enfin, non, pas tout à fait : des boules de névé.
Conclusion (et ça se vérifie au bas des pentes : on y voit très nettement le névé) : ce talus est une superposition de couches de neige, probablement issue des avalanches hivernales, et de pierrailles, les secondes protégeant les premières du soleil estival. Les averses de la veille nous en ont dévoilé un pan. Après le glacier rocheux, voici donc l'éboulis neigeux.
Au fur et à mesure de la montée (c'est en pente très modérée, ce qui en fait une vraie promenade, longue, mais facile), on reste avec ces pentes sur sa gauche :
C'est une vue arrière, voilà pourquoi c'est à droite.
Des torrents dévalent de la pente. Observez la couche épaisse de névé, tout en bas, dans la moitié de droite.
Décidément, la Grande Casse ne se montrera pas. La Grande Motte, elle, tirera sa révérence :
Les pentes supérieures sont enneigées de la veille :
De l'autre côté, les rochers de Pierre Brune font progressivement leur apparition. En même temps que la brume s'effiloche, l'angle devient plus favorable :
On suit, peu ou prou, le parcours du torrent de la Leisse. Il est très encaissé près du pont de Croé-Vie qui le franchit, mais progressivement, le chemin se met à son niveau :
À un détour du sentier, de nouveaux horizons apparaissent. La face nord-est de la Sana, bien qu'à pic, est poudrée :
À sa gauche, ce sont les rochers du Génépy, à droite, à moitié voilée, c'est la pointe du Charbonnier.
Vue sur la Sana elle-même.
Cela peut sembler étrange, mais en montant, le paysage devient moins austère. Le bas des pentes a toujours été herbu, certes, mais il s'élargit avec le vallon, et le torrent coule désormais de plain-pied :
Ce spectacle idyllique est borné par un verrou glaciaire :
La roche Blanche qui fait le verrou sur la gauche.
Les côtes de Leisse Dessus qui le font sur la droite, surmontées par les rochers du Génépy.
On est alors en vue du refuge de la Leisse :
Sur la droite, les pentes enneigées et inquiétantes sont toujours de mise :
On est juste sous la Grande Motte.
On a vu cette arête l'avant-veille, souvenez-vous !
Panorama sur 360°, juste avant d'entamer la montée (plus raide, mais pas trop, et par surcroît, courte, 70 mètres de dénivelé, environ) vers le refuge de la Leisse.
En arrière, on reconnaît enfin l'aspect habituel des rochers de Pierre Brune :
Le sentier ne passe pas au refuge de la Leisse, il le contourne : si on ne fait pas attention, on peut très bien ne même pas s'apercevoir de son existence ! Je fais le détour nécessaire afin de profiter de la vue, car on l'a remarqué, ce refuge est en balcon.
La partie du vallon que l'on vient de quitter est bien verte :
Dans l'axe (aval) du vallon, la pointe de la Réchasse est désormais dégagée :
Les pointes de Pierre Brune, en revanche, ont encore maille à partir avec les nuages :
À leur gauche, la longue crête du Roc Blanc prolonge la pointe du Charbonnier. Elle se termine au col de Pierre Blanche, un passage qui permet d'aller directement de la Femma à la Leisse sans passer par la case Entre-Deux-Eaux :
Si on regarde en amont, on commence à voir les pointes Boussac (gauche) et du Grapillon (droite) :
Après le refuge, un petit morceau de sentier grimpant franchement nous mène au lac du plan des Nettes :
Toute l'arête Boussac - Génépy - Sana -Charbonnier est déployée.
L'arrière-plan est mis en valeur par le saupoudrage de la veille :
Ce n'est qu'un saupoudrage, mais ça en jette !
Pointe du Grapillon.
La pointe du Charbonnier, vue classique, à la neige près.
Le sentier court le long du lac, dans les éboulis grossiers tombés directement de la face sud de la Grande Motte :
Vue avant.
Vue arrière.
On poursuit sur un replat aussi long que le lac, puis le chemin grimpe sur une cinquantaine de mètres de dénivelé jusqu'au niveau du lac des Nettes :
Vue sur le plan des Nettes.
Face sud de la Grande Motte.
On quitte progressivement la partie "verte" du sentier ; ce jour-là, on atteignait du même coup la limite inférieure de la neige. Le lac des Nettes se trouve dans un endroit vraiment désolé :
La pointe Boussac, et sur sa gauche, son homologue du nord escaladée par mes soins il y a deux ans.
Le sommet de la pointe Boussac.
La grande Motte, et une anse du lac des Nettes.
Les glaciers de la Vanoise se sont dégagés de leur gangue nuageuse, mais ils sont loin et on n'en voit qu'une petite partie :
Le dôme de Chasseforêt.
On ne longe pas le lac des Nettes, le sentier prend le replat qu'il occupe et attaque ensuite les pentes supérieures qui mènent au col de la Leisse. Plus on monte (il reste un peu plus d'une centaine de mètres de dénivelé), plus la neige à nos pieds est abondante :
Le lac des Nettes, avec sa forme bizarroïde.
Le même (il n'est pas difficile de le reconnaître, celui-là), vu d'un peu plus haut encore.
C'est dans cette montée que l'on commence à voir la face ouest de la Grande Motte, avec ses installations :
Pour une fois, je n'ai pas à me plaindre des nuages, il cachent juste ce qu'il faut !
Le col de la Leisse n'est plus très loin : on chemine entre des mamelons désolés, parsemés de névés, dans un territoire rocailleux. Il est parfois difficile de trouver le sentier, ce qui est sans importance, et seule la pancarte annonce le col lui-même.
Panorama du col. Le sommet paraissant le plus haut est la pointe Boussac Nord, le sommet principal étant plus à droite.
Quelques vues depuis ce col bien fréquenté. La Grande Motte :
La pointe Boussac :
La pointe Boussac nord :
La pointe de Grand-Pré :
Les crêtes entre Tovière et le col de Fresse (célèbre balade pour les rares d'ici qui ne l'ont pas faite, je vous la recommande, accessible à tous) :
Il ne reste plus qu'à descendre sur Tignes. Comme chacun sait, cela va nettement plus vite entre le col de la Leisse et la bifurcation vers le col de Fresse que ne le laissent accroire les pancartes. Terminons par quelques vues prises sur ce chemin que je parcourais pour la troisième fois dans sa partie supérieure (avant la bifurcation), et pour la six ou septième fois (minimum) dans sa partie inférieure :
Panorama, un peu après le col.
Ce sommet qui domine le col de Fresse est anonyme sur la carte IGN. C'est d'autant plus étonnant qu'il est bien plus visible que la pointe du Grand-Pré, par exemple, et ce depuis les trois quarts du chemin entre Tignes et le col de la Leisse. Le nom de pointe Moot ayant déjà été attribué, il va falloir en trouver un autre.
Les calcaires stratifiés de la Grande Motte, décapés par le glacier et mis à nu suite à son retrait (encore partiel).
La même chose, mais un peu plus loin, au niveau des "rochers de la petite Balme".
Le riant vallon qui attira deux skieurs allemands vers la mort il y a quelques années de cela : au bout de ce plat rassurant se trouve une barre qui plonge dans le vallon du Paquis et qui dépasse cent mètres de hauteur.
La Masuin, là où se trouve la bifurcation du chemin entre le col de Fresse et le col de la Leisse.
Le massif du Chardonnet vu de cette bifurcation. Bellecôte (échancrure de gauche) et l'Aliet (échancrure de droite) se devinent dans l'arrière-plan.
Le dôme de Chasseforêt. Au lever, il trônait au-dessus de tout le reste, mais très vite, il a joué à cache-cache et ne se montrait que lorsque le reste du massif était bien emmitouflé.
Pans de glacier et pans de falaise.
Les chalets de la Para.
Depuis le refuge d'Entre-Deux-Eaux, on a une vue imprenable sur la Grande Casse, ainsi qu'en attestent les cartes postales. Ce spectacle nous sera refusé, seul le bas de la montagne apparaissant en-dessous du plafond :
Le chemin commence par une légère descente, jusqu'au pont de Croé-Vie. C'est une route historique, qui a servi notamment, depuis le Moyen-Âge, pour le commerce du sel vers ces vallées privées d'un élément essentiel que l'on trouve uniquement dans les produits de la mer : l'iode. Le pont, passage obligé depuis des temps immémoriaux, se trouve à l'aplomb du plateau de la Réchasse :
Quant à notre sentier, il va remonter tout doucement le très long vallon de la Leisse, jusqu'au col du même nom :
Si on traverse le pont, on accède au sentier montant vers le col de la Vanoise :
On devine à gauche les lacets qui montent dans les pentes d'herbe.
L'amélioration du temps semble enfin commencer. Temporairement, le sommet dominant le fond du vallon se dégagera :
Vous le reconnaissez ?
Pour vous aider, le voici en plus gros plan.
Vous la reconnaissez ? Eh oui, vue ainsi, du sud-est, la Grande Motte n'a pas du tout son aspect typique. Et pour brouiller les pistes, elle a revêtu son manteau blanc.
La pointe de la Réchasse n'aura pas autant de chance, du moins aussi vite. Les nuages traînent dessus :
Sur sa gauche, la roche de la Queva (ou de la Queua, selon que l'on prend la carte au 1/50.000è ou au 1/25.000è. Comprend qui peut) :
La carte indique des pentes d'éboulis sous les falaises abruptes de la Grande Casse, mais il y a d'étranges coulées dans ces éboulis :
Qu'est-ce qui peut bien être blanc comme ça ?
Je dis que ce sont des boules de neige. Enfin, non, pas tout à fait : des boules de névé.
Conclusion (et ça se vérifie au bas des pentes : on y voit très nettement le névé) : ce talus est une superposition de couches de neige, probablement issue des avalanches hivernales, et de pierrailles, les secondes protégeant les premières du soleil estival. Les averses de la veille nous en ont dévoilé un pan. Après le glacier rocheux, voici donc l'éboulis neigeux.
Au fur et à mesure de la montée (c'est en pente très modérée, ce qui en fait une vraie promenade, longue, mais facile), on reste avec ces pentes sur sa gauche :
C'est une vue arrière, voilà pourquoi c'est à droite.
Des torrents dévalent de la pente. Observez la couche épaisse de névé, tout en bas, dans la moitié de droite.
Décidément, la Grande Casse ne se montrera pas. La Grande Motte, elle, tirera sa révérence :
Les pentes supérieures sont enneigées de la veille :
De l'autre côté, les rochers de Pierre Brune font progressivement leur apparition. En même temps que la brume s'effiloche, l'angle devient plus favorable :
On suit, peu ou prou, le parcours du torrent de la Leisse. Il est très encaissé près du pont de Croé-Vie qui le franchit, mais progressivement, le chemin se met à son niveau :
À un détour du sentier, de nouveaux horizons apparaissent. La face nord-est de la Sana, bien qu'à pic, est poudrée :
À sa gauche, ce sont les rochers du Génépy, à droite, à moitié voilée, c'est la pointe du Charbonnier.
Vue sur la Sana elle-même.
Cela peut sembler étrange, mais en montant, le paysage devient moins austère. Le bas des pentes a toujours été herbu, certes, mais il s'élargit avec le vallon, et le torrent coule désormais de plain-pied :
Ce spectacle idyllique est borné par un verrou glaciaire :
La roche Blanche qui fait le verrou sur la gauche.
Les côtes de Leisse Dessus qui le font sur la droite, surmontées par les rochers du Génépy.
On est alors en vue du refuge de la Leisse :
Sur la droite, les pentes enneigées et inquiétantes sont toujours de mise :
On est juste sous la Grande Motte.
On a vu cette arête l'avant-veille, souvenez-vous !
Panorama sur 360°, juste avant d'entamer la montée (plus raide, mais pas trop, et par surcroît, courte, 70 mètres de dénivelé, environ) vers le refuge de la Leisse.
En arrière, on reconnaît enfin l'aspect habituel des rochers de Pierre Brune :
Le sentier ne passe pas au refuge de la Leisse, il le contourne : si on ne fait pas attention, on peut très bien ne même pas s'apercevoir de son existence ! Je fais le détour nécessaire afin de profiter de la vue, car on l'a remarqué, ce refuge est en balcon.
La partie du vallon que l'on vient de quitter est bien verte :
Dans l'axe (aval) du vallon, la pointe de la Réchasse est désormais dégagée :
Les pointes de Pierre Brune, en revanche, ont encore maille à partir avec les nuages :
À leur gauche, la longue crête du Roc Blanc prolonge la pointe du Charbonnier. Elle se termine au col de Pierre Blanche, un passage qui permet d'aller directement de la Femma à la Leisse sans passer par la case Entre-Deux-Eaux :
Si on regarde en amont, on commence à voir les pointes Boussac (gauche) et du Grapillon (droite) :
Après le refuge, un petit morceau de sentier grimpant franchement nous mène au lac du plan des Nettes :
Toute l'arête Boussac - Génépy - Sana -Charbonnier est déployée.
L'arrière-plan est mis en valeur par le saupoudrage de la veille :
Ce n'est qu'un saupoudrage, mais ça en jette !
Pointe du Grapillon.
La pointe du Charbonnier, vue classique, à la neige près.
Le sentier court le long du lac, dans les éboulis grossiers tombés directement de la face sud de la Grande Motte :
Vue avant.
Vue arrière.
On poursuit sur un replat aussi long que le lac, puis le chemin grimpe sur une cinquantaine de mètres de dénivelé jusqu'au niveau du lac des Nettes :
Vue sur le plan des Nettes.
Face sud de la Grande Motte.
On quitte progressivement la partie "verte" du sentier ; ce jour-là, on atteignait du même coup la limite inférieure de la neige. Le lac des Nettes se trouve dans un endroit vraiment désolé :
La pointe Boussac, et sur sa gauche, son homologue du nord escaladée par mes soins il y a deux ans.
Le sommet de la pointe Boussac.
La grande Motte, et une anse du lac des Nettes.
Les glaciers de la Vanoise se sont dégagés de leur gangue nuageuse, mais ils sont loin et on n'en voit qu'une petite partie :
Le dôme de Chasseforêt.
On ne longe pas le lac des Nettes, le sentier prend le replat qu'il occupe et attaque ensuite les pentes supérieures qui mènent au col de la Leisse. Plus on monte (il reste un peu plus d'une centaine de mètres de dénivelé), plus la neige à nos pieds est abondante :
Le lac des Nettes, avec sa forme bizarroïde.
Le même (il n'est pas difficile de le reconnaître, celui-là), vu d'un peu plus haut encore.
C'est dans cette montée que l'on commence à voir la face ouest de la Grande Motte, avec ses installations :
Pour une fois, je n'ai pas à me plaindre des nuages, il cachent juste ce qu'il faut !
Le col de la Leisse n'est plus très loin : on chemine entre des mamelons désolés, parsemés de névés, dans un territoire rocailleux. Il est parfois difficile de trouver le sentier, ce qui est sans importance, et seule la pancarte annonce le col lui-même.
Panorama du col. Le sommet paraissant le plus haut est la pointe Boussac Nord, le sommet principal étant plus à droite.
Quelques vues depuis ce col bien fréquenté. La Grande Motte :
La pointe Boussac :
La pointe Boussac nord :
La pointe de Grand-Pré :
Les crêtes entre Tovière et le col de Fresse (célèbre balade pour les rares d'ici qui ne l'ont pas faite, je vous la recommande, accessible à tous) :
Il ne reste plus qu'à descendre sur Tignes. Comme chacun sait, cela va nettement plus vite entre le col de la Leisse et la bifurcation vers le col de Fresse que ne le laissent accroire les pancartes. Terminons par quelques vues prises sur ce chemin que je parcourais pour la troisième fois dans sa partie supérieure (avant la bifurcation), et pour la six ou septième fois (minimum) dans sa partie inférieure :
Panorama, un peu après le col.
Ce sommet qui domine le col de Fresse est anonyme sur la carte IGN. C'est d'autant plus étonnant qu'il est bien plus visible que la pointe du Grand-Pré, par exemple, et ce depuis les trois quarts du chemin entre Tignes et le col de la Leisse. Le nom de pointe Moot ayant déjà été attribué, il va falloir en trouver un autre.
Les calcaires stratifiés de la Grande Motte, décapés par le glacier et mis à nu suite à son retrait (encore partiel).
La même chose, mais un peu plus loin, au niveau des "rochers de la petite Balme".
Le riant vallon qui attira deux skieurs allemands vers la mort il y a quelques années de cela : au bout de ce plat rassurant se trouve une barre qui plonge dans le vallon du Paquis et qui dépasse cent mètres de hauteur.
La Masuin, là où se trouve la bifurcation du chemin entre le col de Fresse et le col de la Leisse.
Le massif du Chardonnet vu de cette bifurcation. Bellecôte (échancrure de gauche) et l'Aliet (échancrure de droite) se devinent dans l'arrière-plan.
Dernière édition par Moot le Ven 8 Juil - 20:58, édité 4 fois
Re: Le vallon de la Leisse
Moot, la grande classe, photos, textes, tout est parfait, c'est habituel mais cela mérite d'être dit.
jm- Nombre de messages : 360
Age : 53
Localisation : Bas-Rhin
Date d'inscription : 07/09/2007
Re: Le vallon de la Leisse
jm a écrit:Moot, la grande classe, photos, textes, tout est parfait, c'est habituel mais cela mérite d'être dit.
Oui c'est clair ! Bravo et merci pour ce superbe compte rendu.
MYOSOTIS- Nombre de messages : 926
Age : 43
Localisation : LYON
Date d'inscription : 05/07/2007
Re: Le vallon de la Leisse
+! merci moot!jm a écrit:Moot, la grande classe, photos, textes, tout est parfait, c'est habituel mais cela mérite d'être dit.
groom39- Nombre de messages : 4021
Age : 41
Localisation : Montréal (QC)
Date d'inscription : 19/07/2006
Re: Le vallon de la Leisse
Merci d'autant plus que ces reportages demandent aussi certainement beaucoup de temps !!!!!
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